L ardeche en Occitanie? ..et oui..et plus...Merci Wiki..


Le domaine occitan[modifier | modifier le code]

Carte des dialectes occitans et des régions administratives actuelles
  • Aquitaine : sauf la partie bascophone des Pyrénées-Atlantiques à l’ouest du département et une petite partie de la Gironde et du Périgord en zone d'oïl.
  • Auvergne : le Forez et la Basse-Auvergne ont connu un recul de l’occitanophonie, à la différence du Cantal, de la Haute-Loire et de la Lozère où la langue est encore parlée par une partie de la population96.
  • Calabre : La commune sud-italienne de Guardia Piemontese, situé dans la province de Cosenza, est une enclave linguistique. Un dialecte occitan de type vivaro-alpin, qui se nomme le gardiol97, est encore usité dans cette commune. 74,6 % de ses habitants déclarent le parler couramment98. Sa présence est due à la fondation de ce village par des Vaudois piémontais99 au xiiie siècle qui importèrent en ces lieux l’occitan100. Le village de San Sisto dei Valdesi, fraction de la commune actuelle de San Vincenzo La Costa est un ancien village vaudois qui tente de réactiver l’usage de l’occitan101. Dans la province de Cosenza, d'autres zones ont aussi été peuplées par des occitans vaudois102 tels que Montalto UffugoSan Vincenzo La Costa et Vaccarizzo.
  • Catalogne: on parle une forme du gascon, l’aranais dans le Val d'Aran. L'occitan, dans sa forme aranaise, est une langue officielle de la région, au même titre que le catalan.
  • région Centre : une zone en bordure sud de la région. Voir l'article le Croissant (lo Creissent en occitan).
  • Languedoc-Roussillon : à l’exception de la majeure partie des Pyrénées-Orientales, où l’on parle catalan (seul le Fenouillèdes est occitan). La langue est très affaiblie dans la plaine mais se maintient dans les Cévennes gardoises (autour d’Alès), en Lozère (avec le parler gévaudanais), et dans le département de l'Aude, précisément dans lesCorbières.
  • Ligurie : une zone en bordure ouest de la région.
  • Limousin : l’occitan est parlé dans toute la région par les gens de plus de 40 ans, la langue trouve un nouveau souffle avec la formation de professeurs d’occitan, mais les jeunes générations ne sont que peu intéressées[réf. nécessaire]
  • Poitou-Charentes : le recul de l’usage de l’occitan a été brutal juste après la guerre de Cent Ans, particulièrement dans le sud de la région (voir les dialectes du Nord-Ouest). Le tiers Est de la Charente dont laCharente limousine et cinq communes du département de la Vienne103 sont toujours occitanophones.
  • Midi-Pyrénées : la langue est très affaiblie dans la partie languedocienne, menacée dans la partie gasconne, mais beaucoup de jeunes Gascons la reprennent. Elle se maintient particulièrement bien[pas clair] enHaute-Guyenne (c’est-à-dire l’Aveyron et la moitié nord du Lot).
  • Monaco : une forme d’occitan, italianisé, a été parlée marginalement par les ouvriers nissophones venus travailler en Principauté, à côté du ligure monégasque104. L'éventuelle présence de l'occitan avant cette époque est débattue. En 2006, la proportion de locuteurs du niçois, une variante de l'occitan, était évaluée à 15 %1.
  • Piémont : région italienne dont seules les hautes vallées (Val de Suse…), dites vallées occitanes sont restées occitanophones (nord-occitan). Le versant italien du col de Tende parle provençal. Dans la plus grande partie de la région, on parle cependant italien, piémontais ou lombard, des parlers gallo-italiques.
  • Provence-Alpes-Côte d'Azur : dans cette région on parle le provençal (rhodanien, le maritimeniçart) et le vivaro-alpin (classé par certains dans le provençal). Cependant dans les hautes vallées de la Roya et de la Bévéra on parle des dialectes ligures alpins. À noter aussi quelques isolats ligures (figoun) qui se trouvent dans le Var et dans les Alpes-Maritimes : Biot, Vallauris, Mons et Escragnolles. Le mentonasque a un statut intermédiaire entre l'occitan et le ligure.
  • Rhône-Alpes : le sud de la région est occitanophone : l'Ardèche (dans sa quasi-totalité), la plus grande partie de la Drôme et le sud de l'Isère. En revanche, le Lyonnais, le Forez et le Dauphiné septentrional qui étaient des zones de parlers intermédiaires entre l'occitan et le francoprovençal sont devenues francophones précocement. L’occitan fut la langue de la noblesse lyonnaise lors de l’apogée de la culture des troubadours.

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